Sa présence a surpris mon âme désolée |
RACINE
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Baj. V, 1 |
désolé, ée |
Surpris des nouveautés d'un tel événement |
CORNEILLE
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Héracl. II, 6 |
nouveauté |
Prenez qu'on m'a surpris et que je n'ai rien dit |
GRESSET
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le Méchant, III, 10 |
prendre |
Je fus bien surpris de ne pas trouver une âme chez M. de Luxembourg |
SAINT-SIMON
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11, 128 |
âme |
Une autre de César a surpris la tendresse |
RACINE
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Brit. III, 4 |
autre |
Surpris de cette réponse, je connus bien que.... |
PASCAL
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Prov. 1 |
connaître |
Non, mais il fut surpris et Créon se défie |
CORNEILLE
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Médée, I, 5 |
défier |
Le dormeur s'éveilla, tant il en [de son songe] fut surpris |
LA FONTAINE
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Fab. XI, 4 |
dormeur, euse |
Ils n'osent plus douter de nous avoir surpris |
CORNEILLE
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Cid, IV, 3 |
douter |
Il fit empaler un boulanger qu'il avait surpris en fraude |
MONTESQUIEU
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Esp. XXVI, 24 |
empaler |
Il fut surpris de trouver ses entrailles attendries |
FÉNELON
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Tél. X |
entrailles |
Rien ne vous sert ici de faire le surpris |
CORNEILLE
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Rodog. II, 3 |
faire [1] |
Destin fut surpris de la voir si gaillardement vêtue |
SCARRON
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Rom. com. II, 10 |
gaillardement |
De nouveau l'on combat et nous sommes surpris |
CORNEILLE
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Poly. I, 4 |
nouveau |
Surpris, ravi, confus, je n'ai que repartir [répondre] |
CORNEILLE
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Suiv. III, 10 |
que [1] |
Son âge [de Palmire], sa candeur ont surpris ma tendresse |
VOLTAIRE
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Mahom. III, 8 |
surprendre |
Les pleurs de Sophonisbe ont surpris ma raison |
CORNEILLE
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Sophon. II, 2 |
surprendre |
Ce jugement si éclairé et si incapable d'être surpris |
FLÉCHIER
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Duch. de Montaus. |
surprendre |
N'ai-je pas même entre eux surpris quelque regard ? |
RACINE
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Bajaz. III, 7 |
surprendre |
J'ai surpris ses soupirs qu'il me voulait cacher |
RACINE
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Iphig. II, 5 |
surprendre |
Combien de fois ne me suis-je pas surpris.... criant.... |
DIDEROT
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Él. de Richards. |
surprendre |
On demeura surpris : Cela suspendit les esprits |
LA FONTAINE
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Fabl. VIII, 8 |
suspendre |
Je suis surpris, sans doute, et c'est avec justice |
RACINE
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Bérén. I, 3 |
justice |
Vous ne serez pas surprise de ce que l'on le fut [surpris] de la prison de M. de Beaufort |
RETZ
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II, 69 |
le, la, les [2] |
Je me prosternai : il fut surpris de voir un inconnu en cette posture |
FÉNELON
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Tél. IV |
posture |
Un maître plus équitable qui ne peut être ni surpris, ni prévenu |
MASSILLON
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Avent, Bonh. des justes. |
surpris, ise |
Il est encore plus glorieux d'avouer sa surprise que de n'avoir pas été surpris |
MASSILLON
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Pet. carême, Écueils. |
surprise |
Ce n'est plus cette reine éclairée, intrépide, Qui d'abord accablait ses ennemis surpris |
RACINE
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Ath. III, 2 |
abord |
Je ne serais pas surpris de l'extrême vaillance d'un brutal qui ne connaît ni le plaisir ni les douleurs |
MÉRÉ
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dans BOUHOURS, Nouv. Rem. |
brutal, ale |
Et ce fatal amour dont j'avais triomphé.... Vos détours l'ont surpris et m'en ont convaincue |
RACINE
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Mithr. IV, 4 |
convaincre |
Ces hommages publics, ces emblèmes, ces armes.... Importunaient vos yeux où j'ai surpris des pleurs |
DELAVIGNE
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Paria, IV, 2 |
emblème |
Et je l'ai surpris, là, qui faisait à madame L'injurieux aveu d'une coupable flamme |
MOLIÈRE
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Tart. III, 5 |
flamme [1] |
Alors le pécheur surpris s'indigne de la grossièreté de ses erreurs passées |
MASSILLON
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Carême, Rechute. |
grossièreté |
Mon importun et lui, courant à l'embrassade, Ont surpris les passants de leur brusque incartade |
MOLIÈRE
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Fâcheux, I, 1 |
incartade |
Et je l'ai surpris là, qui faisait à madame L'injurieux aveu d'une coupable flamme |
MOLIÈRE
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Tart. III, 5 |
injurieux, euse |
Mais pour lui rien n'émeut son âme appesantie ; N'en soyez pas surpris, il est né fatigué |
DELILLE
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Convers. II |
né, née |
Ils croyaient en lui, surpris du changement de l'eau en vin qu'il avait fait aux noces de Cana |
BOURDALOUE
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Serm. 4e dim. après la Pentecôte, Domin. t. IV, p. 124 |
noce |
Les deux marchands ouvrirent de grands yeux, et parurent fort surpris |
LESAGE
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Gil Blas, V, 1 |
ouvrir |
Il [le prince d'Orange] fut surpris, comme s'il n'avait pas ouï parler qu'il y eût une armée en Flandre |
SÉVIGNÉ
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25 août 1677 |
parler [1] |
C'est une nouvelle qui a surpris de telle façon les esprits de la cour, qu'ils en ont perdu la parole |
GUEZ DE BALZAC
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liv. II, lett. 6 |
parole |